Biographie : Tavernier, id.) ou Disparus (Gilles Bourdos, 1998), son dernier film. <br> Mais, c'est face à Patrick Dewaere dans Un mauvais fils (Claude Sautet, 1980) qu'il impressionne le plus. Par sa retenue et son authenticité, Robert démontre d'exceptionnelles qualités d'acteur que des années passées au service de la comédie avait un peu fait oublier. Trois ans plus tard, il retrouvera Sautet pour Garçon !. <br> Portant sur le monde un regard amusé et bienveillant, Yves Robert, débonnaire et affable, à l'image de son héros Alexandre le Bienheureux (1967), entre aujourd'hui au Panthéon des cinéastes français. L'ironie de la chose doit faire sourire cet esprit anarchiste irrévérencieux.... [Début] |