Biographie : Bernard Le Coq, a initialement été formé dans une école d’Art dramatique, le cours Claude Viriot à Paris, entre 1965 et 1967. C’est alors qu’il a commencé à décrocher de petits rôles au cinéma, devant la caméra de réalisateurs chevronnés comme Boisrond, Molinaro ou Korber, dont LES FEUX DE LA CHANDELEUR représente la France au Festival de Cannes 1972. Émergent surtout de cette période fort occupée ses rencontres avec Sautet, Lelouch et sa présence dans LES GRANGES BRÛLÉES de Jean Chapot. À la fin des années 70, s’ouvre pour lui une période où le théâtre tient une place non négligeable, avec une pièce écrite par Woody Allen et adaptée par Francis Perrin, “Une Aspirine pour deux” (1976-1977), puis “Mercredi trois-quarts” (1977), “À la renverse” (1980), “Trois fois rien” et “L’Étrangleur s’excite” mis en scène par Jean Rochefort (1982). Mais c’est bien la télévision qui est devenue progressivement, à partir de 1974, son principal terrain d’expression. Il y a retrouvé des réalisateurs qu’il avait connus au cinéma comme Boisrond, Molinaro (“Un Jour comme les autres avec des cacahuètes” en 1974) ou Luc Béraud (“Cité des Alouettesen 1997) et découvert d’autres complicités récurrentes, avec le duo Jean-Claude Carrière-Edmond Séchan (“Photos souvenirsen 1977, “Lundi” en 1979), Peter Kassovitz ou encore André Farwagi.... [Début] |